Le chaudronnier plie, soude ou emboutit les métaux pour leur donner une apparence. Il crée des tubes et des ustensiles ou des pièces de structures de différents volumes.

Le travail d’un chaudronnier

Le chaudronnier déforme et forme aussi bien le fer, le cuivre, le laiton ou les alliages fins tel que l’alu. Il doit avoir connaissance des propriétés de ces matières. Sa mission consiste à découper les morceaux de tôle au moyen de tracés. Il se charge aussi des mises en forme des pièces en métal. Les outils employés sont plus alambiqués et accordés via des commandes numériques. Par la suite, il joint les diverses pièces par soudure ou bien par emboutissage. L’ensemble de ces fonctions implique que le chaudronnier doit avoir une notion en informatique posée à la commande numérique et soit capable de représenter les quantités dans l’espace, d’œuvrer précautionneusement et de se fondre dans un groupe qui constitue une variété de corps de métier.

Exercer en chantier ou en site

L’activité de la chaudronnerie requiert de l’application, de la précision et une bonne endurance physique vu le fait qu’il faut pouvoir manipuler des pièces et des engins souvent très volumineux avec ou sans équipement de manutention. Le spécialiste exerce debout. Les modalités générales de travail nécessitent la considération de normes strictes de sûreté et le port d’habits de protection. Il s’attelle en atelier pour les morceaux les plus classiques. Sa tâche se fait sur site ou en chantier pour les silos de l’usine chimique, pétrolière ou pour les centres hydrauliques ou nucléaires. Le chaudronnier breveté peut occuper la place de chef d’équipe soit de contremaître. Avec un apprentissage, il peut progresser en tant que traceur ou postuler dans un bureau d’étude en qualité de dessinateur ou d’agent des méthodes. Ainsi, mensuellement un ouvrier débutant touche le Smic de 1 467 euros et un technicien perçoit dans les 1 600 euros.